L’hystérie des islamistes

Publié le par Ofek

Pierre Lance

 

 

 

 

Le terrorisme intellectuel que pratiquent depuis toujours les bien-pensants de la gauche

 

 

à l’égard de quiconque ose se déclarer loyalement « de droite » est désormais dépassé

 

 

par un nouvel avatar de cette grossière interdiction de penser et de s’exprimer.

 

 

C’est celui que mettent en vigueur les « fous de Dieu » musulmans

 

 

et qui s’attaque ouvertement à toute la planète.

 

 

Les nazislamistes, car c’est bien le nom qu’on doit désormais leur donner systématiquement,

 

 

s’efforcent d’exercer un chantage permanent sur l’opinion publique mondiale

 

 

en déclenchant des manifestations de foule hystériques dès que la liberté de pensée et d’expression,

 

 

qui est l’apanage du monde civilisé démocratique, égratigne si peu que ce soit leurs tabous archaïques.

 

 

 

 

 

Ce fut tout d’abord la stupide querelle des caricatures, qui a révélé la susceptibilité maladive d’esprits égarés qui croient pouvoir imposer à la civilisation planétaire l’obscurantisme d’un Moyen-Âge révolu et les ukases de la religion la plus aberrante qui ait jamais investi des cervelles humanoïdes.

 

 

Or, le portrait humoristique est l’une des formes d’expression les plus précieuses de la liberté de pensée et de jugement, aussi indispensable au fonctionnement de la démocratie que le droit de vote.

 

 

La caricature est ce qui permet à la presse libre de rappeler aux puissants de ce monde qu’ils ne sont pas des dieux.

 

 

En soulignant les traits physiques par lesquels ils se rattachent à l’humanité ordinaire, la caricature a remplacé dans le monde moderne cette coutume romaine qui voulait qu’auprès de chaque empereur recueillant au cours d’un triomphe les ovations de la foule, se tienne un serviteur lui répétant sans cesse : « Souviens-toi que tu n’es qu’un homme ! ».

 

 

En s’indignant outrancièrement des dessins de Mahomet publiés par un journal danois, les nazislamistes ont montré à quel point ils haïssaient la liberté et la dignité de tous les humains.

 

 

Et plutôt que d’afficher des airs embarrassés, nous aurions dû les couvrir de sarcasmes et dénoncer vigoureusement leur intolérance.

 

 

 

 

 

Mais voici maintenant le tollé soulevé par une référence historique donnée par le pape Benoît XVI au cours d’une conférence à Ratisbonne, au cours de laquelle il cita un propos de l’empereur byzantin, Manuel II Paléologue, qui déclarait, au XIVe siècle : « Montrez-moi ce que Mohamed a apporté de nouveau ; vous trouverez alors des éléments malfaisants et inhumains comme le commandement de propager son enseignement de la foi par le sabre ».

 

 

Le pape voulait souligner que le christianisme, quant à lui, s’efforce de diffuser son message en faisant appel à la raison et non par la violence.

 

 

Force est, toutefois, de rappeler que cette manière douce a été imposée à l’Église par l’avènement de la démocratie en Europe, mais que Charlemagne exterminait les Saxons qui refusaient de se convertir et que les Chevaliers Teutoniques, au XIIIe siècle, imposaient le message du Christ à grands coups d’épée en Europe orientale.

 

 

 

 

 

Toutefois, ce qui fait, de nos jours, la différence entre le christianisme et l’islamisme, c’est que le premier a évolué, bon gré mal gré, vers la tolérance et l’humanisme, tandis que le second s’enfonce de plus en plus dans le despotisme.

 

 

Et si les musulmans qui se prétendent « modérés » l’étaient réellement, ils devraient être les premiers à dénoncer ces réactions abusives de leurs extrémistes.

 

 

Or, il n’apparaît pas qu’ils le fassent.

 

 

Eh bien, nous devons le faire à leur place.

 

 

 

 

 

Les Occidentaux doivent absolument défendre leur liberté d’expression contre cette odieuse « police de la pensée » qui prétendrait juger tous nos propos à la sombre lumière du Coran.

 

 

Et ils ne doivent en aucun cas présenter des excuses ou des regrets, si tel ou tel "écorché vif" de l’Islam monte sur ses ergots dès que, chez nous, quelqu’un dit ce qu’il pense au sujet des mahométans.

 

 

Nous devons surtout nous abstenir de toute autocensure, car ce serait une capitulation spirituelle qui risquerait d’ouvrir la voie à toutes les autres.

 

 

Nous sommes encore libres chez nous, et je rappelle qu’une association musulmane qui avait traîné en justice l’écrivain Michel Houellebecq, pour avoir déclaré que l’Islam était « la plus con de toutes les religions », a été déboutée, le tribunal ayant estimé que la critique religieuse est partie intégrante de nos droits civiques.

 

 

 

 

 

Pierre Lance

 

 

 

 

 

© Les 4 Vérités

 

 

 

 

 

 

 

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