Palestine - Des crimes contre l'humanité. Quotidiens, petits et moyens

Publié le par Ofek

Par Guy Millière - Source   

 

 

  

 

 

Une fois de plus, Israël a dû s'impliquer dans une opération militaire à Gaza.

 

 

Une fois de plus, les groupes terroristes palestiniens vocifèrent, font leur possible pour tuer, envoient en première ligne des femmes ou des enfants aux fins de les utiliser comme boucliers humains.

 

 

La plupart des médias européens « informent » depuis des années, mais peut-on parler d’ « information » ?

 

 

Un autre mot ne serait-il pas plus approprié ? Propagande, dites-vous ?

 

 

 

 

 

Les reportages sont toujours construits selon le même schéma.

 

 

D'abord, le journaliste parle de Palestiniens tués, montre les pleurs et les cris de désespoir, interviewe un membre du Hamas ou d'une autre organisation tout aussi assoiffée de sang.

 

 

Et ensuite, mais seulement ensuite, il mentionne, par incidence, qu'Israël a dû riposter, que « selon le gouvernement israélien » (le chroniqueur n'en est pas très sûr et préfère prendre ses précautions), des tirs de roquettes auraient eu lieu en direction de villes israéliennes.

 

 

  

 

 

Les commentaires qui suivent soulignent, de manière récurrente, que « Gaza est une prison à ciel ouvert », qu'on y « vit dans la misère », qu’on s’y entasse dans des « camps de réfugiés », que l’Interruption de « l'aide internationale » a créé des « conditions catastrophiques » propices au désespoir.

 

 

  

 

 

Le gouvernement israélien s'interroge maintenant sur l'image négative de l'Etat hébreu à l'extérieur du pays et sur la façon de la rectifier.

 

 

 

 

 

Mon humble conseil serait, en premier lieu, de rappeler sans relâche au monde entier, images à l’appui, ce que sont réellement les « autorités palestiniennes », les « médias palestiniens », les « déclarations politiques » des « dirigeants palestiniens » en direction de leur propre population.

 

 

Quand des « autorités » se conduisent comme des tortionnaires sans scrupules, quand des « médias » regorgent d?incitations au meurtre raciste et à la haine génocidaire, quand des « déclarations politiques » feraient passer Hitler pour un grand timide, quand des « dirigeants » se répartissent entre fanatiques et corrompus, il devient de très mauvaise foi de considérer les Israéliens comme des bourreaux et de parler dédaigneusement de « cycle de la violence » où les principaux responsables sont israéliens.

 

 

  

 

 

Une fois cela souligné, on peut envisager de passer à l'étape suivante.

 

 

Le gouvernement israélien devrait interpeller les journalistes occidentaux aux fins de leur demander quel but ils poursuivent.

 

 

Ne savent-ils pas ce qu'ils font ?

 

 

Ignorent-ils qu'ils incitent à la haine anti-israélienne ?

 

 

Méconnaissent-ils tout des médias palestiniens, des dirigeants palestiniens et du reste, utilisation de boucliers humains compris ?

 

 

Ou alors seraient-ils complices ?

 

 

Et s'ils demandent : complices de quoi ?

 

 

Complices de la violence envers la population israélienne, complices aussi de ceux qui disséminent le fanatisme et envoient à la mort des femmes et des enfants.

 

 

Cette interpellation des journalistes occidentaux aurait dû se faire depuis longtemps, cela aurait évité que l'affaire Al-Dura ne dure aussi longtemps, par exemple.

 

 

  

 

 

La troisième étape serait de demander la même chose aux dirigeants politiques occidentaux.

 

 

Nul homme politique rationnel ne peut croire un seul instant, sauf à pratiquer l'auto-aveuglement à dose intensive, qu'un dirigeant palestinien quel qu'il soit envisage sincèrement de faire la paix avec Israël.

 

 

 

 

 

Pourquoi, dès lors, à l'exception de George Bush, aucun homme politique occidental ne le dit-il ?

 

 

D'autres questions pourraient émerger aussi : à quoi sert l'argent versé depuis des années aux détenteurs du pouvoir chez les Palestiniens ?

 

 

Comment se fait-il qu'après tant de milliards, des gens vivent encore dans une misère crasse ?

 

 

Quelle justification donner au fait de financer des « médias palestiniens » qui ne servent ni à informer ni à distraire, mais seulement à disséminer une haine abjecte ?

 

 

 

 

 

Israël n'aurait rien à perdre à dire la vérité telle qu'elle est.

 

 

L'Etat hébreu n'a fait que perdre en faisant des concessions.

 

 

Chaque concession israélienne au nom de « la paix » a, jusqu'à ce jour, été effectivement une concession, mais n'a en rien servi la paix.

 

 

Les barbares ne comprennent rien aux concessions et y voient juste de la faiblesse, leurs lâches complices y perçoivent, quant à eux, des acquiescements à leur lâcheté et à leur complicité.

 

 

  

 

 

Quand on me parle du « malheur palestinien », je réponds depuis longtemps que le principal malheur des « populations palestiniennes » est d'être dirigées par des gens aussi immondes depuis aussi longtemps et de sembler, parfois, en redemander.

 

 

 

 

 

Quand on me parle de la « misère palestinienne », je demande où est passé l'argent.

 

 

 

 

 

Quand on me parle de camps de réfugiés, je demande pourquoi, en six décennies, on n'a pas pu loger décemment tous ces gens.

 

 

 

 

 

Quand on me parle d'aide, j'ai tendance à dire que la meilleure aide, la seule digne de ce nom serait d'interrompre toutes les aides et de dire qu'il est moralement inadmissible de laisser des millions de gens croupir dans la misère, la violence et le fanatisme.

 

 

  

 

 

La bande de Gaza est exiguë, sans ressources naturelles, très densément peuplée.

 

 

Je connais d'autres endroits de la planète dans la même situation : Macao, Hong-Kong ou Singapour, par exemple [1].

 

 

La différence entre Macao, Hong-Kong et Singapour d'une part, et la bande de Gaza d'autre part est que, dans les premiers, on pense à travailler, à entreprendre, à faire des affaires, à élever ses enfants pour qu'ils réussissent leur vie alors qu'à Gaza on apprend à tuer, à détruire, à instrumentaliser les enfants pour en faire des terroristes ou des boucliers humains.

 

 

 

 

 

Ce qui se passe chaque jour à Gaza est un ensemble de petits et de moyens crimes contre l'humanité, placés au service de l'espoir monstrueux d'un grand crime contre l'humanité à l'égard du peuple israélien.

 

 

 

 

 

Tous ceux qui contribuent ou consentent à ces petits et moyens crimes contre l'humanité et qui, de fait, semblent se résigner à ce qu'un grand crime se réalise un jour devraient prendre garde.

 

 

 

 

 

Les petits et moyens crimes contre l'humanité commis au Proche-Orient, comme l'espoir d'un grand crime, donnent déjà des idées à des esprits malades jusqu'en Europe.

 

 

  

 

 

Note :

 

 

  

 

 

[1] 3 820 habitants au km2 à Gaza, 17 700 à Macao, 6 300 à Hong-Kong, 6 400 à Singapour.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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